Quoi
- Cette école est une formation de haut niveau qui reçoit une vingtaine d’experts reconnus internationalement dans leur domaine. Ils et elles proviennent du terrain- ce sont des praticiens- ou du réseau universitaire.
- Il s’agit d’un cours (ETI-7024) de 3 crédits. Il peut être suivi en mode non crédité.
- L’école fait partie des cours qui composent le microprogramme en affaires diplomatiques et stratégiques. Il est donc possible d’entamer ou de poursuivre celui-ci en suivant cette école.
Quand et où
- 1 semaine intensive: 7 jours (du dimanche au samedi)
- En mai ou juin à l’Université Laval ou en France
Pour qui
- Étudiants de 2e et de 3e cycle
- Professionnels du secteur public ou parapublic, ainsi que du secteur privé
- Les étudiants qui terminent leur 1er cycle (60 crédits accomplis) peuvent être acceptés à certaines conditions
Comment
- Les problématiques sont abordées à la lumière de la pluridisciplinarité: science politique, droit, économique et d’autres disciplines selon les besoins
- Le format pédagogique allie conférences, tables rondes ou débats, ateliers, séminaires, simulations, sorties sur le terrain et activités publiques de réseautage
Pourquoi
- Les interventions internationales, tout comme parfois les non-interventions, sont au cœur de nombreuses controverses comme l’ont récemment illustrées l’intervention russe en Ukraine, l’intervention de l’OTAN en Libye, l’intervention de la France en Côte d’Ivoire et la non-intervention des Occidentaux en Syrie.
- De plus, les interventions internationales remettent en cause le concept de souveraineté étatique, l’un des principes fondamentaux et structurants de l’ordre juridique international et des relations internationales depuis les traités de Westphalie en 1648.
- Dans cette mesure, les débats sur les interventions internationales permettent d’appréhender l’évolution du droit international relatif aux conflits armés non internationaux ainsi que l’évolution de la question sécuritaire dans les relations internationales dans un contexte d’internationalisation et d’interdépendance croissante des questions de sécurité.